RĂ©soudre le problĂšme… Aujourd’hui nous invitons Muriel Le Corre, une de nos intervenantes pour notre sĂ©jour FđŸ–€ck le burn out – retrouve le sens Ă  vous en dire plus….

 

FđŸ–€ck le burn out – rĂ©soudre le problĂšme, une introduction

 

Vous vous sentez dépassé, éreinté, tout vous semble compliqué et lourd à gérer ?

Vous n’y arrivez plus oĂč vous avez peur de ne pas y arriver ?

Peut-ĂȘtre vous ne vous reconnaissez plus ?

Vous ĂȘtes Ă  fleur de peau ou avez l’impression de ne plus rien ressentir ?

Peut-ĂȘtre, votre Ă©quilibre Ă©motionnel est mis Ă  rude Ă©preuve et cela ne s’arrĂȘte plus ?

Votre corps prĂ©sente des signes de fatigue mais vous ne rĂ©ussissez pas Ă  prendre du temps pour vous, Ă  vous poser, vous reposer, votre sommeil s’en ressent ?

Vous avez un flot de pensĂ©es discontinues et n’arrivez pas Ă  trouver le bouton stop ?

 

Vous pouvez prĂ©senter un ou plusieurs de ces symptĂŽmes, en vivre d’autres encore qui vous donnent une sensation d’inconfort.

 

Et si vous preniez 3 jours pour vous déposer, vous ressourcer, retrouver un sens à la vie pour (re)trouver un sens à votre vie ?

 

Ou, et si vous vous choisissiez ?

 

Et si vous choisir Ă©tait bĂ©nĂ©fique pour vous-mĂȘme mais aussi pour votre entourage familial, amoureux, relationnel et professionnel ?

 

Nous vous accompagnons pas Ă  pas durant 3 jours qui vous sont entiĂšrement dĂ©diĂ©s, par des ateliers et des sĂ©ances individuelles, dans un cadre somptueux et relaxant, parce que se choisir est une preuve d’amour pour soi et pour nos proches.

 

Je me propose de vous partager un article qui est un chemin de comprĂ©hension pour plus de conscience quant Ă  l’intĂ©rĂȘt positif que nous avons Ă  Ă©couter ce que notre Ăąme nous dit.

Car, lorsque nous ne l’Ă©coutons pas, c’est alors par le corps qu’elle nous transmet le message, parfois par la maladie (le mal Ă  dit), parfois jusqu’Ă  la dĂ©pression, parfois jusqu’au burn-out, provoquant alors un arrĂȘt-buffet net et sans appel, jusqu’Ă  ce que nous acceptions de retirer l’Ă©pine đŸ™‚đŸ€—

 

Et vous, que choisissez-vous pour vous-mĂȘme ?

Et si on cherchait ensemble l’Ă©pine pour vous la retirer ?

 

La psychopratique intuitive et Ă©nergĂ©tique que je vous propose est une pince Ă  Ă©piler efficace et bienveillante qui prend en compte le corps, l’Ăąme et l’esprit pour une approche holistique de votre Ă©pine et de votre ĂȘtre tout entier 😊

 

La plupart des gens veulent ĂȘtre heureux dans la vie.

 

Vous aussi, j’imagine ? 🙂

 

Une métaphore magnifique, bien que quelque peu épineuse attend votre lecture ci-dessous, en attendant de vous retrouver lors de notre séjour du 10 au 12 Novembre 2023 au chùteau de la Beaumetane.

 

Au plaisir de vous accompagner pour retrouver le sens, L’Ăąme de Mu

 

RĂ©soudre le problĂšme de l’Ă©pine

 

« Et si l’épine dans le pied avait un sens ?

par Jean-Philippe Policieux

 

Imaginez.

 

Vous avez une Ă©pine dans le pied.

 

C’est trop douloureux de l’enlever, vous avez peut-ĂȘtre essayĂ© mais rien que de voir une pince Ă  Ă©piler maintenant se rapprocher Ă  moins d’un mĂštre, ça vous met dans tous vos Ă©tats.

 

Tant pis, ça reste lĂ , aprĂšs tout, y’a plein de monde qui a une Ă©pine dans le pied.

 

Donc, au fur et à mesure de votre vie, vous allez mettre en oeuvre des stratégies pour éviter que cette épine dans le pied ne vous fasse trop mal.

 

Vous allez par exemple choisir un certain type de chaussures, avec une semelle plus Ă©paisse pour ne pas trop appuyer lĂ  oĂč ça fait mal.

 

Aussi, vous allez changer votre dĂ©marche pour mettre le poids du corps sur l’autre pied et compenser.

 

Vous allez Ă©viter de marcher de trop en fait, parce qu’en fin de compte, c’est Ă  chaque fois que vous posez le pied que ça peut faire mal ou crĂ©er un inconfort.

 

Et puis l’habitude aidant, vous vous y ĂȘtes fait Ă  cette “condition”.

 

C’est comme si cette Ă©pine, elle faisait partie de vous maintenant.

 

Elle fait partie de votre corps.

 

Comme si vous l’aviez adoptĂ©e !

 

Elle est presque devenue une source d’inspiration.

 

En fait, vous avez mĂȘme dĂ©veloppĂ© une nouvelle forme de semelle et vous avez crĂ©Ă© une entreprise pour la commercialiser et aider ainsi les gens qui, eux aussi une Ă©pine dans le pied.

 

Vous avez dĂ©veloppĂ© des compĂ©tences, et vous donnez des confĂ©rences pour expliquer en quoi c’est important d’avoir de bonnes semelles, qu’il est possible de marcher autrement pour avoir moins mal, que d’avoir une Ă©pine dans le pied, ce n’est pas une fin en soi, que vous pouvez vivre normalement.

 

Alors, vous expliquez aussi aux gens autour de vous, qu’il faut qu’ils comprennent qu’avoir une Ă©pine dans le pied c’est un vrai handicap, et que les milieux professionnels devraient fournir des semelles Ă  leurs employĂ©s pour les aider Ă  mieux travailler.

 

Vous avez rĂ©ussi Ă  faire rĂ©duire les distances entre les arrĂȘts de bus dans votre commune pour avoir Ă  moins marcher justement !

 

Quand vous regardez en arriĂšre, vous ĂȘtes fier de votre parcours, d’avoir pu sensibiliser le monde aux personnes qui ont une Ă©pine dans le pied.

 

Beaucoup de personnes vous remercient, vous partagent leur gratitude.

 

Vous gagnez votre vie et vous vous sentez utile !

 

MĂȘme si au fond, y’a un truc qui ne va quand mĂȘme pas 


 

Quand la vie reprend les rĂȘnes

Un jour, les circonstances changent un peu, puis de plus en plus.

 

Les trottoirs sont goudronnĂ©s diffĂ©remment et vos semelles ne compensent plus assez les chocs, l’inconfort revient.

 

Votre vie s’est accĂ©lĂ©rĂ©e, rendez-vous, dĂ©placements, etc
 vous obligent Ă  un rythme plus important, vous fait marcher plus encore, augmentant ainsi l’inconfort de votre pied.

 

Au bout d’un moment, l’inconfort devient douleur.

 

Vous ne comprenez pas.

 

Frustration, stress, colĂšre presque.

 

Toutes ces annĂ©es de bataille, de gestion de la douleur, de contrĂŽle de l’inconfort pour en arriver lĂ  ?

 

Vous dĂ©cidez d’aller voir quelqu’un.

 

D’abord un spĂ©cialiste des chaussures pour amĂ©liorer votre confort.

 

Puis un spĂ©cialiste de la psychologie de la douleur, parce que ça n’est plus soutenable.

 

Voire un thérapeute pour vous aider à mieux vivre psychologiquement cette condition.

 

Rien n’y fait.

 

C’est Ă  ce moment-lĂ  qu’on vous suggĂšre d’aller voir un mĂ©decin.

 

Au dĂ©but, vous ĂȘtes sceptique, vous ne voyez pas comme un mĂ©decin pourrait vous aider, mais vous n’avez plus rien Ă  perdre, vous ĂȘtes dos au mur.

 

Il regarde votre pied et dĂ©couvre l’épine.

 

Il vous dit simplement qu’il faut l’enlever, qu’elle est là, la source du problùme.

 

QUOI ?

 

Mais 
 mais 
 cette Ă©pine, elle fait partie de votre corps, elle fait partie de vous maintenant !

 

Vous avez construit votre vie autour de cette épine, vous avez forgé votre caractÚre, votre personnalité, voire votre identité.

 

Si vraiment c’est ça, la source de votre problĂšme, ça va bousculer toute votre vie, votre entreprise n’aura plus d’intĂ©rĂȘt, votre mĂ©tier n’aura plus de sens, votre vie va s’écrouler !

 

C’est toute votre identitĂ© qui est remise en question !

 

Alors ? Qu’allez-vous choisir ?

 

Un problĂšme Ă©pineux ! 🙂

Mon exemple est caricatural volontairement.

 

Mais peut-ĂȘtre que cette histoire rĂ©sonne pour vous d’une maniĂšre ou d’une autre.

 

Peut-ĂȘtre individuellement et probablement collectivement.

 

Alors, oui, du cĂŽtĂ© mĂ©dical, souvent c’est le cas, on va s’occuper des symptĂŽmes sans s’occuper des causes (qui sont souvent mal ou pas comprises). Bien sĂ»r, amputĂ© d’un bras, c’est une autre histoire.

 

Collectivement, notre sociĂ©tĂ© a Ă©tĂ© construite sur un ensemble de rĂšgles complexes (procĂ©dures, dĂ©marches, 
) et ça occupe bien du monde pour gĂ©rer cette complexitĂ©. Si on simplifiait, que ferait-on de toutes ces personnes au milieu ?

 

Mais c’est surtout valable dans bien des aspects de la vie à titre individuel.

 

Dans mon exemple de l’épine, la solution est manifestement Ă©vidente.

 

Pour d’autres cas, notamment Ă©motionnels, ça peut trĂšs vite devenir subtil.

 

En fait, tout dĂ©pend dĂ©jĂ  de la perception que l’on a du problĂšme (et vos croyances Ă  propos du problĂšme).

 

Et vous l’avez compris dans mon exemple, que se passe-t-il si je rĂ©sous mon problĂšme une fois pour toute ? Quels bĂ©nĂ©fices vais-je perdre ?

 

Si j’ai construit toute ma vie autour de ce problĂšme, si j’ai appris Ă  bien gĂ©rer les consĂ©quences, si j’ai compensĂ© le dĂ©sĂ©quilibre, c’est comme si j’avais construit une forteresse autour de la source du problĂšme !

 

Personne ne peut plus approcher, sinon la vie que je me suis construit va s’écrouler !

 

RĂ©soudre le problĂšme – des idĂ©es

 

Alors, j’aimerais vous partager quelques idĂ©es pour rĂ©soudre le problĂšme, pour vous sortir de votre propre forteresse quand mĂȘme !

  1. La vie vous poussera toujours Ă  faire face

Vous aurez beau chercher Ă  Ă©viter le problĂšme, “bizarrement” la Vie va toujours vous le remettre sur le chemin.

 

De plus en plus fort si besoin 
 surtout si vous ne voulez pas le voir ou l’adresser vraiment.

 

A ce jeu-là, la Vie est toujours plus forte ! 🙂

 

Jusqu’à ce que vous transcendiez le “problùme”.

 

Que vous trouviez le cadeau qui se cache derriĂšre.

 

Un problĂšme est une marche dans l’escalier de la Vie qui cherche Ă  vous Ă©lever.

 

Rien que d’accepter cela, c’est changer de perspective, donc de perception sur ce qu’il se passe.

 

  1. ArrĂȘtez de regarder Ă  l’extĂ©rieur

C’est la faute des autres !

 

Vous allez projeter votre problĂšme vers l’extĂ©rieur et vous allez essayer de changer votre environnement pour satisfaire les besoins du problĂšme (pas vĂ©ritablement les vĂŽtres, ceux du problĂšme !).

 

Tant que vous n’y arrivez pas, vous blĂąmez l’extĂ©rieur !

 

On a toujours au moins une petite part de responsabilitĂ© dans un problĂšme 
 (mĂȘme si votre ego vous dit le contraire).

 

Donc si rien n’a marchĂ© jusqu’à prĂ©sent pour le rĂ©soudre Ă  l’extĂ©rieur, peut-ĂȘtre faudrait-il creuser Ă  l’intĂ©rieur !?

 

  1. Tout ce que vous avez vécu a un sens

Il n’y a rien d’aussi faux que de dire “J’ai perdu XX annĂ©es de ma vie”.

 

Ce n’est pas parce que vous ne comprenez pas le sens d’une expĂ©rience qu’il n’y en a pas !

 

Et quand bien mĂȘme, votre vie devait changer du tout au tout, vous avez appris, grandi, Ă©voluĂ© grĂące Ă  cette expĂ©rience, beaucoup plus que vous ne pensez !

 

Je l’observe chez les personnes que j’accompagne à chaque fois.

 

Et, croyez-le ou non, cela va vous servir ensuite !

 

La Vie est extrĂȘmement intelligente, il n’y a pas de hasard.

 

Dieu ne joue pas aux dés, disait Einstein.

 

Tout est parfait, disent-ils en spiritualité.

 

  1. Le problĂšme vous pousse Ă  vous ouvrir

Combien de personnes se sont ouvertes à la spiritualité aprÚs des expériences douloureuses ?

 

Combien de personnes se sont ouvertes aux médecines alternatives quand rien ne fonctionnait pour les soigner ?

 

La solution se trouve trĂšs souvent en dehors de notre champ de conscience au dĂ©but, sinon on aurait dĂ©jĂ  rĂ©solu le problĂšme ! 🙂

 

Donc quand on n’a pas la solution, c’est qu’il faut aller voir au-delĂ  de ce que l’on pense savoir, de ce que l’on croit ĂȘtre vrai.

 

C’est donc une recherche intĂ©rieure pour nous ouvrir Ă  plus vaste.

 

Questionnez la normalité

Le problùme avec les problùmes au bout d’un moment, c’est qu’on croit qu’ils font partie de nous.

 

On s’y est tellement habituĂ© Ă  cette douleur, Ă  ce mal-ĂȘtre que l’on considĂšre que c’est la normalitĂ©.

 

C’est devenu un niveau de rĂ©fĂ©rence.

 

Ce serait comme enseigner Ă  des enfants que la tempĂ©rature normale pour une douche c’est 10°C. Au bout d’un moment, ils s’habituent.

 

Vous dĂ©finissez une normalitĂ©, comme si faire autrement n’était pas possible.

 

C’est “normal” d’avoir mal tout le temps.

Au alors, c’est “normal” de se sentir triste tout le temps.

C’est “normal” d’avoir peur tout le temps.

Donc, questionnez cette “normalitĂ©â€, questionnez votre problĂšme, questionnez les croyances autour de lui.

 

Est-ce que ça fait vraiment partie de moi ?

De plus, est-ce que c’est vraiment quelque chose que je ne peux pas changer ?

Est-ce que je peux imaginer une version de moi-mĂȘme sans ce problĂšme ?

Comment serait ma vie sans ce problĂšme ?

Ça vous aidera à cesser de vous concentrer sur votre problùme et à trouver ce qui vous attend derriùre comme cadeau !

 

Vous voulez aller plus loin ?

 

Pensez collectif !

 

Comment serait nos vies sans ces problĂšmes collectifs ?

Comment serait le monde sans toutes ces difficultés ?

Pour certaines personnes, ça peut ĂȘtre difficile comme exercice, car l’attention est plus portĂ©e sur les problĂšmes que sur ce qu’on veut vraiment.

 

La fin de l’histoire ou le dĂ©but d’une autre ?

Le docteur vous dit qu’enlever cette Ă©pine de votre pied, c’est une procĂ©dure classique et rapide, qu’il n’y a aucun souci Ă  vous faire.

 

Vous sentez que les doutes sont là, bien présents, mais au fond de vous, vous savez que vous allez le faire.

 

“Ca y est !”, vous dit le docteur le lendemain, l’épine est enlevĂ©e !

 

Votre pied est encore engourdi, il faudra quelques jours pour qu’il se remette.

 

Les semaines passent et vous n’en revenez pas.

 

Plus d’inconfort, plus de douleur, rien.

 

Pour la premiÚre fois depuis des années, vous marchez pieds nus !

 

Pieds nus !

 

Le contact de l’herbe sous le pied est un dĂ©lice sensitif !

 

Votre démarche se rééquilibre ce qui fait disparaßtre vos problÚmes de dos et de hanches.

 

Un bien-ĂȘtre incroyable parcourt votre corps dĂ©sormais ce qui amĂ©liore aussi votre humeur, pour vous-mĂȘme et pour les autres.

 

Car cette douleur permanente, vous la projetiez Ă  l’extĂ©rieur constamment, notamment dans vos relations, vous vous en rendez compte maintenant.

 

L’énergie que vous aviez pour vos activitĂ©s prĂ©cĂ©dentes change.

 

Moins en réaction, plus en création.

 

Plus positive.

 

Une nouvelle orientation, une nouvelle envie.

 

Vous vous formez à la réflexologie et vous vous rendez compte que vous excellez.

 

AprÚs tout, vous avez de bonnes bases, vous connaissez les moindres recoins du pied maintenant, à travers votre douleur et votre inconfort toutes ces années et aussi à travers toute votre expérience sur le travail des semelles !

 

Cela vous donne des idées !

 

Vous fabriquez des semelles auto-massantes qui permettent de percevoir le contact du sol sans inconfort.

 

Aussi, vous faites la promotion de la marche thĂ©rapeutique, vous emmenez des groupes pour aider les personnes Ă  se reconnecter Ă  leurs corps, Ă  s’enraciner, Ă  travers le contact des pieds.

 

Vous devinez intuitivement, rien que d’aprĂšs leur façon de marcher ce qui ne va pas dans leur vie et vous les aidez Ă  se libĂ©rer d’anciennes Ă©motions, ou croyances.

 

Ainsi, vous découvrez une joie nouvelle, un sentiment de contribution incroyable !

 

Vous n’auriez pas cru cela possible !

 

Et lors d’une randonnĂ©e, votre nouvelle passion, vous souriez.

 

Vous souriez à la vie qui vous a fait traverser toutes ces expériences pour en arriver là, ici et maintenant.

 

Quand vous repensez Ă  cette Ă©pine, vous vous surprenez Ă  ressentir de la gratitude.

 

Sans elle, vous ne seriez pas la personne que vous ĂȘtes devenue.

 

Vous contemplez le paysage en haut du sommet, le chemin parcouru depuis en bas.

 

Tout cela avait un sens et vous le vivez aujourd’hui, pleinement.

 

Jean-Philippe Policieux

 

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